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Tchideme Justin,
RÉSUMÉ DU SIXIÈME DISCOURS DE LA MÉTHODE DE RENÉ DESCARTES
René Descartes est un philosophe français ayant écrit plusieurs livres parmi lesquels nous pouvons citer le Discours de la méthode, cet ouvrage est constitué de six parties dont la sixième partie porte notre résumé. Dans cette partie Descartes à renoncer à publier une ouvrage très puissante sa physique, car il avait su la condamnation de Galilée. Il a décidé donc d’utiliser une méthode générale entre la science et la métaphysique. Descartes affirmes le progrès de la technique, les connaissances physiques tel que l’étude des forces, les actions du feu, sur l'eau, sur l'air, et surtout les autres corps permettent à l’homme d’être maître et possesseur de la nature. Selon lui, grâce à cette activité physique, l’homme peut mieux connaître la nature et peux y vivre. Descartes, parmi tous ces activités physiques, propose la médecine le bien majeur, car l’esprit dépend de la bonne santé du corps, la médecine permet à l’homme d’être encore plus sage. Il critique aussi les spectateurs qui rapporte très mal les connaissances des auteurs, car ils se croient comprendre ce que veut dire les auteurs, mais plutôt commettent beaucoup des fautes de mal compréhension de thèse des auteurs. C’est ainsi qu’il affirme que le Discours de la méthode est mieux, pas parce que lui-même est intelligent que les autres, mais plutôt que les idées qui la constituent découlent de sa propre conscience et nom de quelque part, c’est ainsi qu’il valorise plus les idées qui provient de soi-même que de quelque part. Descartes a donné les raisons qui ont poussé à écrire le Discours de la méthode donc l’une de ses raisons est qu’il a besoin de l’aide d’autrui pour conduire certaines expériences, afin de progresser dans ses recherches. En publiant ceci, Descartes voulais montrer sa raison, sauver sa réputation, car dans le cas contraire, les hommes vont croire que c’est de mauvaises raisons qu’il ne veux pas publier le Discours de la méthode. Il l’a publié en français et non plus en latin, car il ne veut s’adresser qu’à la raison pure, il ne s’adresse qu’à ceux qui utilisent leur bon sens. Ils clôturent donc son ouvrage sur un vague projets d’avenir quand il affirme que c’est proprement ne valoir rien que de n’être utile à personne.